La fin de vie dans un contexte d’affection ou de maladie grave et incurable est un sujet prégnant, touchant à l’intime et à l’organisation sociale dans son ensemble. Elle laisse une large place aux innombrables questions d’ordre éthique et juridique, sans manquer de convoquer les convictions religieuses.
Si le droit de donner la vie ne pose aucune difficulté et s’accompagne ensuite du droit à la vie, protégé au titre des droits fondamentaux, qu’en est-il à l’autre extrémité de l’existence ? La loi française est claire : le droit à la vie n’entraîne…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?