Les trois quarts des élèves inscrits en Section d’enseignement général et professionnel adapté (segpa), qui accueille des enfants ayant d’importantes et persistantes difficultés scolaires, sont issus de familles défavorisées. Les élèves pauvres sont aussi surreprésentés chez les jeunes porteurs de handicap et donc, au sein des unités localisées pour l’inclusion scolaire (Ulis) ou des instituts thérapeutiques éducatifs et pédagogiques (Itep). Des enfants empruntant bien souvent, avec ces filières spécialisées, le chemin suivi par leurs parents avant eux.
Pour éviter que ne se reproduisent sans fin ce type de ségrégations…
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