Le chiffre du jour : +5,79%. C’est l’augmentation moyenne des tarifs réglementés du gaz en ce premier novembre. Par rapport à octobre, la hausse est de 1,9% pour les foyers qui utilisent le gaz pour la cuisson. De 3,6% pour ceux avec le double usage cuisson-eau chaude. Et de 6% pour ceux qui se chauffent au gaz. Il s’agit du 7ème mois consécutif d’augmentation des tarifs. C’est la conséquence de la montée des prix des matières premières et des importations, mais aussi des taxes. Il existe aussi un chèque énergie, une aide sociale qui devrait profiter à 4 millions de foyers. Rendez-vous sur Capital.fr pour plus de détails.

Le coup de gueule du jour est poussé par un client de fast-food. Un père de famille belge aurait retrouvé un asticot dans ses frites chez Quick. L'enseigne dément catégoriquement et saisit la justice contre son client mécontent. Ce dernier a posté une vidéo sur Facebook de sa découverte peu ragoutante. Le jugement du tribunal de Liège pourrait faire jurisprudence en matière de contenu publié sur les réseaux sociaux. Le verdict sera rendu fin novembre.

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L’info pratique Capital. Avec les réformes des retraites successives, on travaille plus longtemps et les emplois se font donc plus rares. Surtout pour les seniors. 920.000 personnes de plus de 50 ans pointent aujourd’hui à Pôle emploi, une hausse de presque 20% depuis 2012. Alors justement, si vous perdez votre travail à partir de 53 ans, vous avez droit à des mois d’indemnisation supplémentaires, plus ou moins nombreux en fonction de votre âge. Ces périodes de chômage vous donnent aussi droit à des points de retraite complémentaire et à des trimestres d’assurance. Si vous désirez en savoir plus, Capital.fr est l’adresse toute trouvée !

Et, on termine avec les PV. Depuis janvier 2017, les patrons doivent dénoncer leurs employés qui se sont faits flashés au volant d’un véhicule de société. S’ils ne le font pas, ils recevront, à leur tour, un PV pour non-désignation. Sauf que, selon un avocat spécialiste, il suffirait au salarié de contester la dénonciation de son patron pour éviter l’amende. En effet, cette dénonciation ne serait pas une preuve suffisante pour un retrait de points. Conséquence, les patrons devront apporter de nouvelles preuves sinon le salarié sera relaxé.

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