Des scientifiques des universités de Hong Kong, Édimbourg et Manchester ont publié une étude sur des robots miniatures capables de traiter les maladies depuis l’intérieur de votre corps. Ils pourraient par exemple être utilisés pour lutter contre le cancer.
Grâce à celle-ci, le « médicament » est visible via imagerie par résonance magnétique (IRM), ce qui permet aux scientifiques de le suivre et de le guider. Avec le temps, la spiruline se désagrège sans créer de dommages.
En disparaissant, ces nanobots sont capables de libérer des produits curatifs. À terme, les médecins pourraient les faire se déplacer en "armée" dans des zones données pour traiter certains cancers et d'autres maladies graves localisées.
Déjà impressionnants et probablement synonymes de grandes avancées pour le traitement de zones difficiles d’accès, les bio-hybrids diagnostiquent aussi les maladies. Ils peuvent en effet repérer les modifications de leur environnement et les associer au déclenchement des virus.
Il y a peu, la startup française Eligo Bioscience levait 20 millions d'euros pour commencer les essais cliniques de ses molécules qui visent à détruire les bactéries nuisibles et à protéger celles qui nous sont utiles. Il semble que la santé soit désormais résolument tournée vers des interventions « internes », moins douloureuses et avec moins de séquelles qu'une opération chirurgicale standard.
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