Publicité
Réservé aux abonnés

Immobilier : pourquoi la hausse des prix n'est pas finie

Alors que Paris doit s'approcher à l'automne des 8900 €/m2, un record historique, Bordeaux enchaîne les hausses vertigineuses, Lyon et Annecy conservant des prix élevés. Eisenhans - stock.adobe.com

INFOGRAPHIE - Après un an de volume de ventes record et de hausse soutenue des prix, le marché devrait rester bien orienté. Mais certaines villes sont déjà en surchauffe.

Pas de pause en vue sur le marché immobilier. Tous les spécialistes s'accordent à reconnaître que les voyants sont au vert avec un marché dynamique et des ventes qui pourraient s'approcher du niveau jamais atteint d'un million de transactions annuelles dans l'ancien.

Et du côté des prix? «On ne peut pas imaginer une nouvelle montée en flèche, estime Jean-François Buet, président de la Fnaim. Après une hausse soutenue de 4 % sur 12 mois, nous allons vers un point d'équilibre et entrevoyons une certaine stabilité jusqu'à la fin de l'année.» L'incertitude demeure sur la fin des dispositifs Pinel et PTZ aux conditions actuelles qui pourrait créer un afflux de demandes en fin d'année. Mais cette stabilité globale prévue par la Fnaim ne vaut pas pour les grandes villes dynamiques attirant de nouveaux habitants. Alors que Paris doit s'approcher à l'automne des 8900 €/m2, un record historique, Bordeaux enchaîne les hausses vertigineuses, Lyon et Annecy conservant des prix élevés.

« Le fossé s'est énormément creusé en une décennie entre les prix de la zone rurale et ceux des dix principales villes de France. Là où la première a perdu près de 15 %, les secondes ont bondi de plus de 20 %. »

Sébastien de Lafond, PDG de la plate-forme internet MeilleursAgents

«Le fossé s'est…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 78% à découvrir.

Vente Flash

4,49€/mois pendant 12 mois

Déjà abonné ? Connectez-vous

Sujet

Immobilier : pourquoi la hausse des prix n'est pas finie

S'ABONNER
Partager

Partager via :

Plus d'options

S'abonner
3 commentaires
  • Kalachnikov

    le

    Arrêtez de faire du cinéma les journalistes , la hausse des prix n' est pas finie par ce que des quartiers entier sont déserté pour cause de changement de population !!!! 2000 euros le mètre carré à la Courneuve c'est cher , même très cher , 6000 à Neuilly / Seine , c'est cadeau !!!!

  • dominiqueD2B

    le

    Les propriétaires bailleurs répercuteront leurs prix et leurs coûts sur leurs locataires. Les propriétaires tout court seront étranglés par l’impôt, entre l’IFI, les taxes foncières et les taxes d’habitation qui vont exploser du fait de la suppression de la taxe foncière pour 80% des gens.

À lire aussi