Special Award RecipientsLauréat.e.s des Prix spéciaux

Devery Jacobs est une actrice, scénariste, réalisatrice et productrice primée. Originaire du territoire mohawk de Kahnawà:ke, elle utilise sa conscience sociale et sa plateforme pour défendre les droits des Autochtones et des personnes LGBTQ2S+. Devery joue dans la série Marvel Echo, qui a été lancée sur Disney+ le 10 janvier. Elle a récemment interprété l’un des rôles principaux de la série Reservation Dogs (FX/Hulu), saluée par la critique. Son interprétation d’« Elora Danan » lui a valu deux nominations aux Critics Choice Awards et une nomination aux Gotham Awards. Elle a participé à l’écriture de Reservation Dogs et réalisé le septième épisode de la saison 3. Le premier long métrage de fiction produit par Devery, Backspot, a fait sa première au TIFF en septembre 2023.

Lamar Johnson a dernièrement été finaliste aux prix Emmy pour son interprétation d’Henry Burrell dans la série The Last of Us (HBO), aux côtés de Pedro Pascal.

L’acteur, réalisateur, mannequin et artiste canadien a également joué récemment le rôle principal du film Brother, présenté en première et primé au TIFF 2022. Le rôle lui a valu le prix Écrans canadiens de la meilleure interprétation dans un premier rôle. Ce drame canadien de passage à l’âge adulte sur fond de hip-hop est sorti en salles et en visionnement sur demande le 4 août 2023, et il est actuellement disponible sur Netflix.

Connu pour son travail dans la série limitée Your Honor (Showtime) aux côtés de Bryan Cranston, Lamar a été nommé l’une des étoiles montantes du TIFF pour son rôle dans le long métrage The Hate U Give (Fox) avec Amandla Stenberg. Le film est une adaptation du roman à succès du même nom, qui s’est positionné dans la liste des meilleurs vendeurs du New York Times. On l’a aussi vu dans Native Son (HBO/A24) aux côtés d’Ashton Sanders, All The Bright Places (Netflix) avec Elle Fanning et Justice Smith, et Kings (réalisé par Deniz Gamze Ergüven, finaliste aux Oscars), son premier long métrage, qui met également en vedette Halle Berry et Daniel Craig. Enfin, il a partagé l’affiche avec Sophie Turner dans Dark Phoenix, le dernier volet de la série de films basée sur la célèbre franchise de Marvel Comics, « X-Men ».

Paul Thomas Workman s’est lancé dans le journalisme à l’âge de huit ou dix ans. C’était il y a si longtemps qu’il ne se souvient plus exactement, si ce n’est que John F. Kennedy était candidat à l’élection présidentielle. Il a créé un journal polycopié et l’a vendu cinq cents l’exemplaire dans la rue principale de son village natal d’Arthur, en Ontario. Les recettes ont été affectées à l’achat de bouteilles de soda mousse. Et c’est ainsi qu’a démarré une prestigieuse carrière (ou du moins une longue carrière) dans le journalisme canadien. Paul Workman a étudié le journalisme à l’Université Ryerson, aujourd’hui Université métropolitaine de Toronto, puis a travaillé pour le Ottawa Citizen, avant d’entrer à CBC News en tant que reporter national pour la Saskatchewan, l’Alberta et le Québec. Il a passé les 33 années suivantes en tant que correspondant à l’étranger pour CBC et CTV, passant d’un premier poste de chef de bureau au Moyen-Orient à une série de missions à Jérusalem, Paris, New Delhi, Washington et Londres. Il a couvert la première guerre du Golfe, la chute du mur de Berlin, la deuxième guerre du Golfe, la guerre du Kosovo, la mort de la princesse de Galles, et les guerres d’Afghanistan et d’Ukraine. Il est actuellement au chômage et à la recherche d’un emploi.

Jane Goodall: Reasons for Hope est un film grand format basé sur la philosophie de Jane Goodall, qui prône l’espoir dans le monde. Le film s’articule autour des quatre principaux piliers d’espoir de Jane : l’énergie et le dévouement des jeunes, le miracle du cerveau humain, la résilience de la nature et l’indomptable esprit humain. Jane Goodall: Reasons for Hope a pour thème la durabilité et l’incitation à l’action. Il porte sur l’incroyable résilience et la créativité des personnes qui posent des gestes partout dans le monde pour changer collectivement les choses. Aspect majeur du projet, le centre Science Nord s’était engagé à minimiser l’empreinte environnementale de la production et à viser un film à consommation énergétique nette zéro en instaurant un certain nombre de bonnes pratiques. L’empreinte carbone de la production a été estimée avant le début du tournage, sans que l’équipe sache si la mise en œuvre des actions serait couronnée de succès : la prévision s’élevait à 261,56 tonnes d’équivalents CO2. Après la mise en œuvre de plusieurs actions et avec le soutien total des membres de l’équipe et des partenaires tels que Rivian, l’empreinte carbone a été réduite de plus de la moitié pour atteindre 100,46 tonnes d’équivalents CO2.

Jeff Barnaby est né dans la réserve Mi’gmaq de Listujug, au Québec. Ses films sans concessions dressent un portrait sombre et cinglant de la vie et de la culture autochtones postcoloniales. Son mélange unique de réalisme magique, d’horreur corporelle et de science-fiction a fait de lui un pionnier du futurisme autochtone. Il a réalisé les courts métrages From Cherry English, The Colony, File Under Miscellaneous et Etlinisigu'niet (Bleed Down). Son premier long métrage, le film à suspense Rhymes for Young Ghouls, est un récit de vengeance avec pour toile de fond le traumatisme intergénérationnel causé par le système canadien des pensionnats et ses politiques génocidaires. Blood Quantum, son deuxième long métrage, est un film sanglant de zombies où les héros autochtones sont immunisés contre l’épidémie de morts-vivants. Figure centrale du cinéma autochtone contemporain, il a développé des récits audacieux et une vision singulière qui continuent d’inspirer la nouvelle génération de cinéastes.

John Brunton, président-directeur général et producteur délégué à Insight Productions. John a produit des milliers d’heures d’émissions télévisées, dont une grande partie s’est vendue à l’étranger. On lui doit notamment trois des émissions canadiennes les plus populaires de tous les temps : The Amazing Race Canada, Big Brother Canada et The Tragically Hip: A National Celebration, un concert spécial en direct regardé par un tiers de la population canadienne. Au cours de ses 45 années de carrière, John a défendu sans relâche les récits de tous genres issus du Canada et le secteur de la production audiovisuelle canadienne dans son ensemble. Sa passion, son esprit entrepreneurial et sa créativité ont contribué à faire d’Insight un symbole de télévision de qualité partout dans le monde.

Marilyn Denis est l’une des personnalités les plus enjouées du secteur télévisuel. En 2023, Marilyn a annoncé son départ du Marilyn Denis Show, après avoir animé 13 saisons de la populaire émission primée aux prix Écrans canadiens, et avoir mené une carrière de 34 ans dans la télédiffusion quotidienne de jour. Tout au long de ses années à la télévision, la reine canadienne du créneau de jour a toujours placé ses fans au centre de son travail, en offrant au public du pays un mélange unique de divertissement et d’informations de style de vie, chaque matin de la semaine. Anciennement coanimatrice de Roger & Marilyn, cette doyenne de la radio anime aujourd’hui Marilyn Denis and Jamar, tous les matins de semaine sur CHUM 104.5, la station de radio la plus écoutée de Toronto. Elle continue en outre de proposer ses fameuses entrevues sur le divertissement et le style de vie sur Marilyn Denis Does a Podcast, disponible sur l’application iHeartRadio et partout où l’on trouve des balados.

Nommée l’une des 100 personnalités noires les plus influentes du Canada en 2024, pour la troisième année de suite, Tonya Williams est une actrice, productrice et militante primée qui travaille depuis 48 ans au Canada et aux États-Unis. Frustrée par le manque de diversité raciale sur les écrans canadiens, Tonya a fondé Reelworld en 2000, afin d’offrir de nouvelles possibilités aux personnes noires, autochtones, asiatiques, sud-asiatiques et racisées. Le Reelworld Screen Institute a grandi et propose aujourd’hui des programmes de formation, un festival de films, un sommet et une plateforme d’embauche, AccessReelworld.ca. Tonya a grandement contribué aux changements systémiques au sein du secteur audiovisuel canadien. Elle fait partie de plusieurs comités gouvernementaux dont la mission est d’améliorer l’accès, le perfectionnement professionnel et le financement des groupes visés par l’équité.

Devery Jacobs est une actrice, scénariste, réalisatrice et productrice primée. Originaire du territoire mohawk de Kahnawà:ke, elle utilise sa conscience sociale et sa plateforme pour défendre les droits des Autochtones et des personnes LGBTQ2S+. Devery joue dans la série Marvel Echo, qui a été lancée sur Disney+ le 10 janvier. Elle a récemment interprété l’un des rôles principaux de la série Reservation Dogs (FX/Hulu), saluée par la critique. Son interprétation d’« Elora Danan » lui a valu deux nominations aux Critics Choice Awards et une nomination aux Gotham Awards. Elle a participé à l’écriture de Reservation Dogs et réalisé le septième épisode de la saison 3. Le premier long métrage de fiction produit par Devery, Backspot, a fait sa première au TIFF en septembre 2023.

Lamar Johnson a dernièrement été finaliste aux prix Emmy pour son interprétation d’Henry Burrell dans la série The Last of Us (HBO), aux côtés de Pedro Pascal.

L’acteur, réalisateur, mannequin et artiste canadien a également joué récemment le rôle principal du film Brother, présenté en première et primé au TIFF 2022. Le rôle lui a valu le prix Écrans canadiens de la meilleure interprétation dans un premier rôle. Ce drame canadien de passage à l’âge adulte sur fond de hip-hop est sorti en salles et en visionnement sur demande le 4 août 2023, et il est actuellement disponible sur Netflix.

Connu pour son travail dans la série limitée Your Honor (Showtime) aux côtés de Bryan Cranston, Lamar a été nommé l’une des étoiles montantes du TIFF pour son rôle dans le long métrage The Hate U Give (Fox) avec Amandla Stenberg. Le film est une adaptation du roman à succès du même nom, qui s’est positionné dans la liste des meilleurs vendeurs du New York Times. On l’a aussi vu dans Native Son (HBO/A24) aux côtés d’Ashton Sanders, All The Bright Places (Netflix) avec Elle Fanning et Justice Smith, et Kings (réalisé par Deniz Gamze Ergüven, finaliste aux Oscars), son premier long métrage, qui met également en vedette Halle Berry et Daniel Craig. Enfin, il a partagé l’affiche avec Sophie Turner dans Dark Phoenix, le dernier volet de la série de films basée sur la célèbre franchise de Marvel Comics, « X-Men ».

Paul Thomas Workman s’est lancé dans le journalisme à l’âge de huit ou dix ans. C’était il y a si longtemps qu’il ne se souvient plus exactement, si ce n’est que John F. Kennedy était candidat à l’élection présidentielle. Il a créé un journal polycopié et l’a vendu cinq cents l’exemplaire dans la rue principale de son village natal d’Arthur, en Ontario. Les recettes ont été affectées à l’achat de bouteilles de soda mousse. Et c’est ainsi qu’a démarré une prestigieuse carrière (ou du moins une longue carrière) dans le journalisme canadien. Paul Workman a étudié le journalisme à l’Université Ryerson, aujourd’hui Université métropolitaine de Toronto, puis a travaillé pour le Ottawa Citizen, avant d’entrer à CBC News en tant que reporter national pour la Saskatchewan, l’Alberta et le Québec. Il a passé les 33 années suivantes en tant que correspondant à l’étranger pour CBC et CTV, passant d’un premier poste de chef de bureau au Moyen-Orient à une série de missions à Jérusalem, Paris, New Delhi, Washington et Londres. Il a couvert la première guerre du Golfe, la chute du mur de Berlin, la deuxième guerre du Golfe, la guerre du Kosovo, la mort de la princesse de Galles, et les guerres d’Afghanistan et d’Ukraine. Il est actuellement au chômage et à la recherche d’un emploi.

Jane Goodall: Reasons for Hope est un film grand format basé sur la philosophie de Jane Goodall, qui prône l’espoir dans le monde. Le film s’articule autour des quatre principaux piliers d’espoir de Jane : l’énergie et le dévouement des jeunes, le miracle du cerveau humain, la résilience de la nature et l’indomptable esprit humain. Jane Goodall: Reasons for Hope a pour thème la durabilité et l’incitation à l’action. Il porte sur l’incroyable résilience et la créativité des personnes qui posent des gestes partout dans le monde pour changer collectivement les choses. Aspect majeur du projet, le centre Science Nord s’était engagé à minimiser l’empreinte environnementale de la production et à viser un film à consommation énergétique nette zéro en instaurant un certain nombre de bonnes pratiques. L’empreinte carbone de la production a été estimée avant le début du tournage, sans que l’équipe sache si la mise en œuvre des actions serait couronnée de succès : la prévision s’élevait à 261,56 tonnes d’équivalents CO2. Après la mise en œuvre de plusieurs actions et avec le soutien total des membres de l’équipe et des partenaires tels que Rivian, l’empreinte carbone a été réduite de plus de la moitié pour atteindre 100,46 tonnes d’équivalents CO2.

Jeff Barnaby est né dans la réserve Mi’gmaq de Listujug, au Québec. Ses films sans concessions dressent un portrait sombre et cinglant de la vie et de la culture autochtones postcoloniales. Son mélange unique de réalisme magique, d’horreur corporelle et de science-fiction a fait de lui un pionnier du futurisme autochtone. Il a réalisé les courts métrages From Cherry English, The Colony, File Under Miscellaneous et Etlinisigu'niet (Bleed Down). Son premier long métrage, le film à suspense Rhymes for Young Ghouls, est un récit de vengeance avec pour toile de fond le traumatisme intergénérationnel causé par le système canadien des pensionnats et ses politiques génocidaires. Blood Quantum, son deuxième long métrage, est un film sanglant de zombies où les héros autochtones sont immunisés contre l’épidémie de morts-vivants. Figure centrale du cinéma autochtone contemporain, il a développé des récits audacieux et une vision singulière qui continuent d’inspirer la nouvelle génération de cinéastes.

John Brunton, président-directeur général et producteur délégué à Insight Productions. John a produit des milliers d’heures d’émissions télévisées, dont une grande partie s’est vendue à l’étranger. On lui doit notamment trois des émissions canadiennes les plus populaires de tous les temps :

Marilyn Denis est l’une des personnalités les plus enjouées du secteur télévisuel. En 2023, Marilyn a annoncé son départ du Marilyn Denis Show, après avoir animé 13 saisons de la populaire émission primée aux prix Écrans canadiens, et avoir mené une carrière de 34 ans dans la télédiffusion quotidienne de jour. Tout au long de ses années à la télévision, la reine canadienne du créneau de jour a toujours placé ses fans au centre de son travail, en offrant au public du pays un mélange unique de divertissement et d’informations de style de vie, chaque matin de la semaine. Anciennement coanimatrice de Roger & Marilyn, cette doyenne de la radio anime aujourd’hui Marilyn Denis and Jamar, tous les matins de semaine sur CHUM 104.5, la station de radio la plus écoutée de Toronto. Elle continue en outre de proposer ses fameuses entrevues sur le divertissement et le style de vie sur Marilyn Denis Does a Podcast, disponible sur l’application iHeartRadio et partout où l’on trouve des balados.

Nommée l’une des 100 personnalités noires les plus influentes du Canada en 2024, pour la troisième année de suite, Tonya Williams est une actrice, productrice et militante primée qui travaille depuis 48 ans au Canada et aux États-Unis. Frustrée par le manque de diversité raciale sur les écrans canadiens, Tonya a fondé Reelworld en 2000, afin d’offrir de nouvelles possibilités aux personnes noires, autochtones, asiatiques, sud-asiatiques et racisées. Le Reelworld Screen Institute a grandi et propose aujourd’hui des programmes de formation, un festival de films, un sommet et une plateforme d’embauche, AccessReelworld.ca. Tonya a grandement contribué aux changements systémiques au sein du secteur audiovisuel canadien. Elle fait partie de plusieurs comités gouvernementaux dont la mission est d’améliorer l’accès, le perfectionnement professionnel et le financement des groupes visés par l’équité.