BAYA a 3 ans - 5 choses que j'ai apprises !

BAYA a 3 ans - 5 choses que j'ai apprises !

BAYA va bientôt souffler sa 3ème bougie ! L’occasion de revenir sur cette aventure entrepreuneuriale, pleine de rebondissements, de surprises, de rencontres, de problèmes en tous genre et de solutions, toujours !

1.     Bien s’entourer

Mon associée Agnès est évidemment la pierre angulaire de la réussite de BAYA. Notre rencontre, à la croisée de nos univers design et business, a été la première fondation solide (et indispensable) de BAYA.

Nous avons également été entourées et écoutées dès le début par nos amis entrepreneurs, le MOOVJEE (et son partage impressionnant de ressources et son système de mentorat pour et par des entrepreneurs), le Réseau Entreprendre et ses très précieux clubs mensuels où, en groupes de 10 personnes, tout se dit sans tabou (du recrutement, aux difficultés financières ou entre associés en passant par des problématiques personnelles ou de branding).

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Dans un deuxième temps et suite à notre levée de fonds, le réseau de nos investisseurs nous a également permis de faire de nombreuses rencontres, de soulever des points d’améliorations et d’échanger avec d’autres entreprises aux mêmes problématiques que nous .

 S’entourer, c’est également être à l’écoute de ses clients et de sa communauté. En lançant des groupes de discussion sur Whatsapp auprès de nos meilleures clients et ambassadeurs, nous apprenons au quotidien et nous ancrons ainsi dans un process d’écoute continu et d’amélioration. #welovefeedback

 S’entourer c’est également construire une équipe solide qui se sent bien et qu’on aide à faire grandir ! Un défi de tous les jours pour les jeunes managers que nous sommes.

2.     Sortir de sa zone de confort

Je grandis tous les jours, et je me sens rarement en zone de confort : je découvre le métier de manager, j’accepte de me faire challenger - ce qui n’est pas toujours agréable pour l’égo (je l’ai particulièrement ressenti lors des tours de tables pour notre levée de fonds) et nous remettons en question tout son système d’approvisionnement, encouragées par un fort engagement de nos clients mais également de notre équipe #BAYATeam. 

Ce qui a également été d’un grand apprentissage pour moi, ça été de me rendre compte que tout n’est qu’un process, que tout est toujours améliorable et mouvant. On ne peut pas juste « cocher les cases » de notre to do list, il faut aussi s’assurer du suivi, de la mise en place, de l’ajustement et, toujours arriver à prendre du recul et continuer à tout questionner et améliorer. 

3.     Faire confiance à son intuition

J’ai appris à me faire confiance, à suivre mon intuition dans les moments de doutes, notamment pour savoir dire non, à un partenaire que l’on ne « sent » pas, à un projet qui ne nous inspire pas confiance, à des propositions parfois alléchantes mais souvent décevantes.

Mon instinct m’a aussi servi pour savoir dire oui, à une amie qui souhaitait nous rejoindre dans l’aventure, à des festivals de yoga où l’on rencontre des tas de personnes passionnantes, à des cafés avec des entrepreneurs ou porteurs de projet où j’apprends toujours beaucoup (et qu’il aurait été tentant d’annuler faute de temps) 

4.     Il y a plusieurs modèles de réussite, choisissez le vôtre

Avec Agnès, depuis le début, nous sommes très alignées sur notre vision pour faire grandir BAYA : nous avons envie d’en faire une entreprise pérenne, rentable, avec une équipe solide et une ambition forte.

Les indicateurs de succès varient en fonction de vos KPIs, de votre envie, de votre vision. Aucun besoin de justifier telle ou telle valorisation d’entreprise, une croissance plus ou moins rapide, une envie d’aller à l’international (ou non).

Il y a plusieurs modèles de réussite, certains plus rapides, d’autres avec différents indicateurs de succès.

Dès que nous avons été sereines et alignées avec notre vision, il a été plus facile de se concentrer sur nos actions, d’être focus sur ce qui servirait notre mission et ce qui, selon nous, créerait notre valeur ajoutée.


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5.     Prendre le temps et être patient-e

 L’impatience est sans doute mon plus gros défaut. Je m’ennuie très facilement, j’aime aller vite.

C’est un vrai challenge pour moi de me dire que parfois il faut ralentir, se re-concentrer sur pour construire des bases solides : nous avons notamment pris le temps de développer une nouvelle gamme SOFT qui a pris près d’un an, ou encore notre première collection d’Activewear qui a pris près de 10 mois - une éternité pour moi !

La patience a du bon : on acquiert plus de données pour prendre des décisions, plus de recul, une vision d’ensemble plus précise.

 Cette patience permet aussi de construire un plan d’action pour atteindre ses objectifs : en donnant un « temps » (et donc des deadlines) à différentes actions (le développement produit, un recrutement ou encore une nouvelle campagne marketing), on essaie de sortie d’une suite de tâches très opérationnelles pour aller vers (sur le papier du moins) un développement qui sert notre mission. 

 Ces trois dernières années ont été enrichissantes, challengeantes et énergisantes !

Et c’est incroyable de penser que ce n’est que le début de BAYA.

 

 

 

 


Beau chemin, et encore tant de belles découvertes à venir :)

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Benoît Mazerat

CEO - EPISOD SPORTS STUDIOS

4y

👏👏

Camille Azoulai

je démocratise la gourmandise sans rien de bizarre à l'intérieur 🙌

4y

Très chouette lecture

Charlotte Royer

International Corporate Communication & Content Manager

4y

Bravo Hortense, je m'en souviens de notre rdv chez Lov Organic il y a quelques années ;)

Gerard BELLET

fondateur at Jean Bouteille

4y

T’assures !

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