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Une efficace pilule anti-COVID-19 fait la simplicité du soin.

Sa prescription dès les symptômes et à absorber avec un verre d’eau.

lundi 22 novembre 2021, par Jaco

Ce qui peut vraiment changer la donne du COVID-19, est l’élaboration d’un soin d’une simplicité, comme s’est accoutumé l’humain à l’usage de la pharmacopée. Une simple pilule à boire avec de l’eau permet de traiter la maladie. Et quand son effet vient plus tôt, ce qui est encore mieux. Outre les avantages évidents de ce médicament, en comparaison aux autres, il est facile à transporter, à stocker et à administrer.

Alors que la responsabilité politico-administrative des nations cherchent à éviter la transmission du virus du COVID-19, quand les citoyens refusent de faire vacciner, la recherche médicale travaille. Cependant que les plus vulnérables souffrent, un soin médicamenteux est proposé au marché. Un traitement efficace sera une aubaine, en particulier s’il atténue les symptômes et réduit la transmission.

Quand il s’agit de la simplicité d’une molécule encapsulée en gélule ou compactée en comprimé absorbable, il y a réjouissance pour la limitation des dégâts. En plus on montre de l’enthousiasme, quand c’est un antiviral à action directe dans le système d’une personne le plus rapidement possible. Un des anticorps monoclonaux développé dernièrement et déjà vendu réduit aussi l’hospitalisation.

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Un médicament qui peut être largement distribué et utilisé, même chez des patients déjà atteints de tous les variants du COVID-19, ou ils ont été exposés. Il vient d’être créé par 2 entreprises leaders de l’industrie pharmaceutique. Quand la maladie ne présenta pas de symptômes chez certains cas, c’est même le soin idéal.

Il s’agit d’une pilule de deux sociétés qui fonctionnent par des mécanismes différents. Cela pourrait être vraiment bénéfique pour la facilité de prise ou communément l’absorption par voie orale d’où la possibilité des formules liquides aussi. Le médicament de Merck, appelé molnupiravir. Et celui de de Pfizer, Paxlovid.

Le 1er insère des erreurs dans le code génétique du virus, censé inéluctablement répondre quand il est présent dans l’organisme, pour perturber sa réplication. Et le second est un inhibiteur de protéase. Cette classe de médicaments développés dans la lutte contre le VIH et l’hépatite C avec lesquels il existe des décennies d’expérience, a réellement donnée ses preuves.

Deux sociétés ont testé ces médicaments sur des adultes à haut risque. Les résultats sont concluants ; Ces pilules ddeviendraient largement disponibles et pourraient également être utilisées conjointement avec des vaccins, pour lutter contre les infections lourdes, selon les scientifiques de Harvard qui ont suivi les tests. Si des profils d’innocuité sont robustes, ça sera une large utilisation, par mesure de précaution avant que les symptômes se développent.

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Le paramètre temps est devenu important, avec l’alerte aux pandémies. Le développement de ce médicament a été assez rapide, mais a pris du retard, par rapport à celui des vaccins, accéléré par la course concurrentielle. Il ait été testé plus tôt pour la grippe. Et Pfizer a tiré partie de son expérience passée dans la recherche de traitements contre le virus original du SRAS.

Dans le processus d’étude et d’expérimentation, les fabricants du « Paxlovid » disent que les cachets devront probablement être administrés avec un deuxième médicament. En combinaison, ce qui réduit les chances que le virus devienne résistant aux médicaments. Il attaque également la capacité du SARS-CoV-2 à se répliquer. En interférant avec le processus par lequel les protéines importantes pour la reproduction sont « coupées ». Et rend inutilisables par le virus les molécules précurseurs.

Les résultats de Pfizer étaient si prometteurs que l’étude a été interrompue prématurément, a déclaré la société. Environ 1% des participants à l’étude (6 sur 607) ont été hospitalisés et aucun n’est décédé après 28 jours. La société a donc envisagé de demander une autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA pour commercialiser cette pilule. Elle réduisait le risque d’hospitalisation et de décès de 89 %.

Les autres traitements anti COVID-19 sont en grande partie réservés aux patients les plus malades confinés. Ils sont généralement injectés par voie intraveineuse. Et ils sont administrés que dans les structures médicales à un stade avancé de la maladie. Les plus en vogue et même rejetés par des populations, comme le vaccin, doivent être administrés par injection. C’est ainsi que cette pilule est comme un miracle.

Les publications de HARVARD, sources de cet article.

Mark Namchuk, le responsable de la publication sur ce médicament. Image : Jon Chase de Harvard Gazette.

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Voir en ligne : COVID-19

     

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