Trophée de l'Aravet 2000 : la fête après la compet'
Par Guilhem RICAVY
Avec un parrain comme Luc Alphand (ici avec sa fille Estelle), la journée ne pouvait que bien se passer, pour le plus grand bonheur de l'organisateur marseillais Willy Siffrein-Blanc.
Photos vanessa rivalain
Le rendez-vous convivial des chefs d'entreprises phocéens à Serre-Chevalier
Le Trophée de l'Aravet 2000, c'est comme une belle journée entre potes. Tout le monde est content de se retrouver et on passe un bon moment ensemble. La 5e édition de la manifestation imaginée par Willy Siffrein-Blanc et Olivier Colombero se tenait hier à Serre-Chevalier sur la piste de géant qui dévale jusqu'au restaurant d'altitude. Elle n'a pas fait exception à la règle. Bien sûr, il y avait une course, un titre et une coupe en jeu. Mais c'est l'ambiance dans le carré mis en place pour eux, avec son bar fait de neige, que les participants garderont en souvenir.
200 compétiteurs étaient inscrits au départ du slalom. Quelque 500 personnes en tout participaient au rendez-vous. Beaucoup de Marseillais et aussi quelques enfants de la vallée parmi ceux qui comptent sur le plan sportif : Luc Alphand et sa fille Estelle, le champion de snowboard médaillé aux JO de Sotchi Pierre Vaultier ou encore d'autres grands noms de l'équipe de France de ski. Le Trophée de l'Aravet 2000, c'est donc bien comme une belle journée entre potes. On est toujours triste le soir au moment de devoir se séparer.
Le classement
1. Benjamin Margnat (40)
2. Frédéric Becerra (42)
3. Lionel Baldus (45)
4. Philippe Omiccia (47)
5. Laurent Michotey (43)
6. Stéphane Hours (53)
7. Stéphane Abelli (49)
8. Frédéric Chollet (50)
9. Laurent Léandri (46)
10. Yann Brunet (73)
11. Stéphane Massé (51)
12. Thierry Parrel (57)
13. Stéphane Pillard (44)
14. Antoine Siffrein-Blanc (60)
15. Patrick Siri (86)
L'intégralité des résultats (général et par catégories) est consultable en ligne sur www.trophee-aravet2000.com
Trois mois de travail
Mettre en place chaque année un événement comme le Trophée de l'Aravet 2000 demande pas mal de temps. "Il faut trois mois de travail pour en arriver là", explique Willy Siffrein-Blanc, qui a donné naissance à la manifestation avec son copain Olivier Colombero, qui s'occupe du restaurant d'altitude donnant son nom à la course.
"Ça été un job à plein-temps toute cette semaine", poursuit Willy, qui n'a pu souffler qu'une fois la course débutée.
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